Parfois, je me dis que la métamorphose que les progressistes veulent
opérer dans notre société française, par l'universalisme, l'immigration
de masse et le métissage, ressemble un peu à ça. Ils veulent créer une
civilisation riche et fraternelle, et nous, les réacs, frileusement
cramponnés à notre identité, refusant la souffrance de la voir
disparaître, sommes la résistance du soldat du plomb, qui peut tout
faire échouer. Qui veut garder sa vie la perdra, disait le Haut Maître :
peut-être l'ancienne France, celle que nous chérissons, la France
millénaire de nos rois, de nos héros et de nos ancêtres, doit-elle
mourir pour renaître différente et plus belle. Un peu comme la
renaissance carolingienne a fait resurgir la romanité et l'idée
impériale du chaos des invasions barbares, avec un surcroît de vigueur.
Original: ici.
Là, j'ai vraiment envie de dire à ce cancre en Histoire:
Eh, faut se réveiller, là, faut arrêter de regarder de la série américaine en croyant que c'est la vérité.
Dans ce monde que tu décris, tu saurais pas lire, t'aurais aucun pouvoir ni droit, tu serais juste, comme 70% des gens un pauvre esclave soumis à ton seigneur qui violerait ta fille avant qu'elle n'épouse un bougre, t'interdirait de chasser, te prendrais 80% de tes récoltes et le reste serait piqué par l’Église.
Et tu servirais de chair à canon pour ton" bon roi ".
Tes ancêtres, ils te pourchasseraient avec une pique si t'avais osé sortir cette ânerie au temps de la Révolution.
Et pour l'histoire des carolingiens, espèce d'inculte, sache que ces gens venaient d'une tribu barbare qui avait accaparé le pouvoir, d'origine germanique, étant issus en droite lignée des invasions et Charlemagne se fichait pas mal de la romanité , vu qu'il a essayé toute sa vie de truander Rome, ce qu'il a fait en se faisant couronner empereur, bref, il a réussi là où les gaulois avaient échoué...
Le problème, avec eux, c'est que leur ancienne France est tout aussi imaginaire que celle qu'ils imaginent et contre laquelle ils se battent...
Et ça veut défendre la culture française, ça? Faudrait d'abord qu'il sache ce que c'est vraiment!....
"Et pour l'histoire des carolingiens, espèce d'inculte,"
RépondreSupprimerVous n'avez pas la moindre idée de la personne dont vous parlez ^^.
N'ayez crainte, il ne se salira pas à vous répondre, vous pouvez y aller, vous ne ridiculisez que vous.
tiens le petit cochon sort son groin.
SupprimerJe croyais que vous ne vouliez plus revenir.
Je persiste, quand on ne connait pas son Histoire de France, on fait pas le cancre, à moins de s'exposer à se faire moquer et rabrouer.
Pour n'importe quel historien, votre "ami" est aussi inculte que votre profil est porcin.
A bientôt!
et ne vous étouffez pas dans votre narcissisme, décontractez-vous un peu, l'orgueil est un des 7 péchés capitaux, on voit pourquoi.
La liste pour vous corriger:
orgueil envie gourmandise colère paresse luxure jalousie.
Vous ne pourrez pas dire que je ne fais pas acte de charité chrétienne à votre égard, au cas-où vous en aviez que je n'ai pas encore relevé.
Bonne journée, petit cochon rose
"Je croyais que vous ne vouliez plus revenir."
RépondreSupprimerMoi, j'ai dit ça ? Vous avez dû rêver.
Essayez donc de circuler sur les blogs que recommande notre ami.
Mais, s'il vous plaît, ne venez pas polluer ces dits blogs.
Vous vous feriez maltraiter et ce serait injuste, vu votre insignifiance.
Cher petit porcinet féminin, le mensonge, c'est pas joli non plus.
SupprimerJ'ai une très bonne mémoire, surtout dans les fils de commentaires chez Jacques Etienne: il fallait m'ignorer, avez-vous tous dit, non? et vous avez regretté d'avoir signaler mon "insignifiant article".
Allons...
Pourriez-vous faire preuve de plus d'intelligence quand vous critiquez?
J'ai l'impression de retourner dans la cour de récré...c'est fatiguant pour moi de m'abaisser à votre niveau, je dois le confesser.
Et comment vous croyez que j'ai tous ces morceaux choisis sur ce blog?
par contre, troller, non, je ne suis pas réduite à ça, moi.
J'ai plus d'éducation que vous.
Bonne soirée, petite Aglaé
Sans vouloir me montrer vexant, le droit de cuissage n'a jamais existé. Quant à la fiscalité sous l'Ancien Régime, je ne saurais trop vous conseiller de lire des ouvrages historiques sérieux, elle était dérisoire en comparaison de celle qui nous accable aujourd'hui.
RépondreSupprimerNos bons rois ne recourraient pas à la chair à canon. Les troupes étaient constituées de mercenaires et de sujets librement enrôlés. Rares, très rares ont été les périodes où l'on a recouru à des enrôlements musclés. Comparé à la conscription républicaine, les armées de nos rois étaient vertueuses. Au passage, à part quelques exactions ordonnées par Louvois durant la guerre du Palatinat, les guerres de l'Ancien Régime étaient respectueuses des villes et villages, des récoltes et des civils. C'est la révolution qui a accouché du nationalisme et de sa corollaire, le concept de guerre totale, où ce ne sont plus deux armées qui s'affrontent mais deux peuples.
Quant à la vie quotidienne de nos aïeux, dites-vous bien une fois pour toutes, qu'ils furent incommensurablement plus libres que vous ne le serez jamais.
Malheureusement, vous enfilez des contre-sens, des approximations, des contre-vérités comme d'autres enfilent des perles. Ceci dit, ce qui est rafraîchissant, c'est que vous le faites avec un aplomb qui force le respect.
Ou j'ai trouvé mes infos: auprès de mes maîtres en faculté: ce que vous dites est tellement énorme et si facile à contredire que je ne vais pas me casser la tête à rectifier ce que vous dites: les impôts ont mené à la Révolution!
SupprimerPour le respect des cultures, n'importe quel expert en stratégie vous dira le contraire...
Pour le droit de cuissage, pourquoi vous croyez que le terme bâtard a été inventé?
Votre vision à la limite du révisionnisme et du négationnisme laisse sans voix n'importe quel historien
Ah oui, des profs appointés par la gueuse quyi n'hésitent pas à tout faire pour chasser de l'université tous ceux de leurs collègues qui vont à l'encontre de la doxa ripoublicaine. Celle-là même qui passe des lois pour inscrire dans le marbre une vérité historique officielle, interdisant de ce fait toute recherche qui irait à son encontre. On se demande de quel côté se trouve ne révisionnisme.
RépondreSupprimerSur le respect des cultures, visiblement vous ne comprenez pas le concept des guerres de l'Ancien Régime. Il s'agissait avant tout soit de conquérir de nouvelles terres, soit d'y stationner suffisamment longtemps pour pousser la partie adverse à négocier. En conséquence de quoi, quelle que soit l'option, la conservation des récoltes était indispensable ne serait-ce que pour assurer le ravitaillement des troupes, la chaîne logistique n'en étant qu'à ses débuts et hasardeuse en raison des technologies de l'époque. Ce que vous décrivez est né après la révolution. Il suffit de s'intéresser au modèle occidental de la guerre décrit par divers polémologues de renommée internationale pour démonter votre argumentaire.
Assez bizarrement, la première mention de ce fameux droit de cuissage intervient sous la plume de Voltaire. Étonnant lorsqu'on sait que le moindre droit ou privilège était nécessairement consigné par écrit dans divers recueils. Il fut ensuite repris par Michelet. Par ailleurs, il est de notoriété publique, il suffit de lire de vrais historiens, que les révolutionnaires, à fin de propagande, inventèrent de faux droits ou privilèges pour noircir le tableau de l'Ancien Régime. Je pense entre autres au droit de ravage ou au droit de prélassement. Si vous vous intéressiez quelque peu à la véritable histoire, vous sauriez également que la majeure partie des droits et privilèges tombèrent en désuétude à la fin du Moyen-Âge et le reste ne survécut pas à la Renaissance.
Quant à la révolution, elle fut le fait de la bourgeoisie, envieuse de ne pas pouvoir atteindre les leviers du pouvoirs autrement qu'à travers certaines carrières, juridiques notamment. Des petits nobliaux envieux s'y joignirent. La Fayette, Mirabeau, Robespierre, assurément des gens d'extraction populaire, comme Saint-Just et consorts, n'en doutons pas.
Mémoires du Duc de Quincy 1710
SupprimerViols par les seigneurs attestés dans les Grands Jours d'Auvergne 1665 et épargnez-moi le cliché de Fléchier: voyez les textes sur microfibres, dans la langue de l'époque.
Le soit-disant mythe de cette pratique n'est pas à la hauteur de l'intelligence dont vus vous targuez.
Et vous croyez sincèrement que les comptes-rendu sur ces pratiques étaient faites au grand jour?
Vraiment, je suis désolée, vous devriez aller dans les bibliothèques universitaires et consulter les documents, au lieu de vous contenter d'articles très douteux.
Si vous confondez le viol avec l'exercice d'un droit, qui n'a jamais existé au demeurant.
RépondreSupprimerTout pour avoir raison, mais vous avez lu ce que vous écrivez?
SupprimerPour quelqu'un qui se prétend éclairé et sachant lire, vous me semblez limitée. On va donc mettre des sous-titres. Si ces viols avaient été du fait de l'exercice de ce droit de cuissage, qui n'a jamais existé, ils n'auraient pas été répertoriés à l'époque comme des viols mais comme la simple mise en pratique d'un droit reconnu. Vous saisissez ?
SupprimerVous en avez pas marre, de dire n'importe quoi sous prétexte d'avoir raison?
SupprimerComment voulez-vous qu'on répertorie ça dans cette catégorie quand le seigneur était le juge?
Cela s'est fait plus tard, avec l'évolution du droit.
Deux droits existaient principalement, vous devriez le savoir, il y avait ensuite le droit dans les villes libres ou franches, sans seigneur, le droit ecclésiastique(encore différent) et le droit seigneurial.
Beaucoup de ces lois n'étaient pas écrites et étaient appelées droit coutumier.
Je vais pas vous faire un cours de droit d'histoire moderne à cette heure, quand même.
Si ça vous arrange de croire ce que vous écrivez, grand bien vous fasse.
Je vais vous éclairer un peu: quand un seigneur menait la future épousée à son promis, si il pouvait en profiter, il le faisait, qui allait le sanctionner pour viol?
Et en plus, en avançant dans le temps, après les carolingiens, le droit n'était pas le même suivant que vous habitiez en pays d'oïl ou en pays d'oc. Cela se retrouvait notemment et surtout dans le domaine des successions. Ce phénomène s'est atténué au début du 14° siècle après la croisade des albigeois.
RépondreSupprimerDans le sujet, il est question des carolingiens. Il faut se remémorer que l'illétrisme était la quasi généralité et si Charlemagne, figure de proue de la dynastie et héritier des envahisseurs celtes du NE, savait à peu près lire, il ne savait pas du tout écrire et ses missi-dominici étaient envoyés en mission pour tenter d'instruire au moins un peu le clergé.
Quant aus gaulois, il est bon de rappeler que ceux-ci n'ont en réalité jamais existé en temps que tels, c'était un agglomérat de peuples qui n'ont pas été à proprement parlé colonisés par Rome, mais la romanité a été un véritable échange de compétences entre les "gaulois" et les romains. Les "gaulois" ne connaissaient pas l'écriture et il l'ont apprise des romains mais ils possédaient à merveille des techniques comme le tonneau (pour le transport commercial des liquides) ou encore la métallurgie (la réputation mondiale de la France perdure encore de nos jours dans ce domaine.
L'époque de la royauté n'a jamais été une bonne période pour notre pays et quoiqu'on dise, l'imposition était très lourde et particulièrement injuste. L'Histoire du Dauphiné et plus particulièrement du Queyras nous rappelle que c'est la seule région a avoir souffert de la politique fiscale de la révolution. L'impôt était négocié et réparti avec justice entre les décideurs et les payeurs.